mercredi 18 juin 2008

Le gaz à effet de serre ?

Qu'est-ce que l'effet de serre ?



Les rayons du soleil qui atteignent la Terre réchauffent sa surface et sont absorbés à hauteur des deux tiers. Sous l’effet de la réverbération, le tiers restant est renvoyé sous forme de rayonnement infrarouge vers l'espace, mais se trouve en partie piégé par une couche de gaz située dans la basse atmosphère : celle-ci renvoie la chaleur vers la Terre et contribue à la réchauffer davantage.


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jeudi 12 juin 2008

jeudi 5 juin 2008

Journée mondiale de l’Environnement


Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) publie un guide anti-CO2 :

À l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, dont le thème est «CO2 Non à la dépendance! Pour une économie à faible émission de carbone», le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) a lancé aujourd’hui un guide afin d’aider la population à réduire ses émissions de gaz à effet de serre, et ce, sans changements radicaux des habitudes, ni gros sacrifices. Utiliser un réveil à ressort plutôt qu’électrique ou faire sécher ses vêtements sur une corde à linge plutôt que dans une sécheuse, le PNUE énumère des exemples d’actions plus écologiques, simples et peu coûteuses qui peuvent être faites à la maison. Ainsi, selon l’organisation, ces petits gestes peuvent aider à réduire de plus de la moitié les émissions quotidiennes des Australiens, des Européens et des Nord-Américains.
Ces conseils ont été réunis dans deux rapports, publiés par le PNUE dans le cadre de la Journée mondiale de l'environnement et dont les célébrations principales se dérouleront en Nouvelle-Zélande, l'un des cinq premiers pays à s'être engagé pour un climat neutre.
«Par des mesures simples, une personne peut réduire ses émissions journalières de plus de la moitié, et des réductions encore plus importantes sont possibles si les fabricants d'appareils divers et les secteurs comme l'énergie, l'automobile et l'aviation contribuent plus à l'écologisation des styles de vie», assure le PNUE dans un communiqué.
Le premier de ces rapports se veut un guide sommaire sur la façon de réduire notre dépendance au carbone et s'intitule Kick the Habit: The UN Guide to Climate Neutrality (Non à la dépendance : Guide de l'ONU pour la neutralité climatique). Le second, écrit par des experts en collaboration avec le PNUE et par l'Organisation mondiale du tourisme, s'intitule Climate Change Adaptation and Mitigation in the Tourism Sector (L'adaptation et les solutions de rechange aux changements climatiques dans le secteur du tourisme). Il met l'accent sur les défis et les possibilités qui s'ouvrent aux plus grandes industries du monde, dont le transport aérien long ou court-courrier.

EVITEZ DE VOUS PIEGEZ DANS CETTE SPHERE !!!

lundi 2 juin 2008

L’hypnose cathodique (Attention : Manipulation



Photographier des gens devant leur téléviseur. Banal, diront certains mais l’approche est loin d’être futile surtout lorsque ce moment d’intimité est subtilisé par un professionnel de la stature d’Olivier Culmann. Les photos captées par ce photographe et reporter de presse, début 2004, à Marrakech et alentours, révèlent la nature du rapport qu’entretiennent des Marocains issus principalement de milieux défavorisés avec cet objet devenu indispensable. Une première dans l’univers de la photographie et qui dénote une réelle volonté de l’auteur de nous interpeller sur le poids de la télé dans notre vie quotidienne sans mettre en avant ses préjugés personnels. Des photos attestant aussi et surtout de l’angoisse de l’auteur vis-à-vis de l’importance prise par la télévision dans notre quotidien. Ce qui est loin d’étonner ceux qui connaissent bien la démarche artistique d’Olivier Culmann dont les questions récurrentes portent sur la liberté humaine et son conditionnement. Il faut dire que ce photographe revendique sa subjectivité quant au traitement de ces sujets. Et ce n’est pas un hasard s’il s’est introduit dans des maisons délabrées pour dire à quel point le poste de télévision est devenu un produit de première nécessité et montrer aussi son emprise sur les foyers défavorisés. Des photos fort parlantes du pouvoir de la télé sur des femmes et des hommes dont elle meuble la solitude et oublient pendant quelques heures leur triste vécu.
Pour voir les photographies veuillez cliquer sur ce lien

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jeudi 29 mai 2008

La société de consommation "MASSIVE"


L’homme postmoderne(de cette époque) vit dans une telle immersion dans le monde de la consommation qu’il a bien du mal à voir ce qu’elle est. Le terme consommer est couramment associé avec des images : celle d’une société d’abondance, avec sa profusion de nourriture sur les présentoirs, son accumulation ludique de toutes sortes d’objets, de la machine à laver, à la voiture de la dernière série d’un constructeur, celle du caddie du supermarché plein à déborder, de l’étalage du luxe éblouissant, celle de la facilité d’acheter tout de suite tout ce que l’on veut, sans limite, pour payer plus tard. On lui a dit et répété qu’il s’agissait en toutes choses, de profiter au maximum. Le consommateur type profite des soldes, profite des remises autorisées par ses cartes de crédit, il profite des prix en baisse, il profite des loisirs, il profite des vacances. Il profite des cours de la bourse. La consommation est pour lui le modèle du plaisir, une euphorie même, le plaisir d’acheter pour se faire plaisir, une auto-gratification perpétuelle. Plaisir aussi de se montrer avec l’attrait captivant de la nouveauté : le nouveau jean, le dernier cri en matière de téléphone portable, de vêtement coupé selon la dernière mode. Plaisir de se faire voir, d’être regardé, d’être envié, plaisir de consommer surtout pour épater. Plaisir de jouer avec les images de la publicité et de ressembler à cette jeunesse insolente, qui se déhanche, fait des clins d’œil, rie aux éclats, se pavane avec un look d’enfer et se contrefiche éperdument de toutes les questions sérieuses. Fun morality. Plaisir d’être léger, frivole, de se sentir porté par les sollicitations, et de paillonner de boutique en boutique, de dépenser sans contrainte, de faire comme si on avait de l’argent plein les poches. Bref, consommer sans retenue et vivre perpétuellement la tête dans les nuages, le sourire béat de la publicité sur les lèvres. Et surtout, ne jamais, au grand jamais, se poser de questions.